Yorann et Jérémie: pour plus de métal à Lorient!

Yorann et Jérémie

Yorann et Jérémie sont collègues et tous les deux amateurs de métal et de bon son qui envoie du bois! Ils déplorent le peu de concerts de ce genre dans la région lorientaise, sont souvent amenés à se déplacer sur Brest, Rennes, Nantes ou Vannes pour faire le plein d’énergie métal et tiennent à être présents pour la soirée du 7 novembre au Manège. Avec les années, ils ont vu ce genre musical se raréfier dans les salles de Lorient. Aussi quand l’occasion se présente, ils ne boudent pas leur plaisir!

Au programme, Death Engine, groupe dans lequel Yorann a officié il y a quelques années à la genèse du projet, A Place To Bury Strangers et surtout Wall of death, groupe de rock psyché, qu’ils ont hâte de découvrir sur scène.

Le métal se fait rare à Lorient alors que le public est là. Yorann et Jérémie en sont la preuve vivante et ils ne seront pas seuls le 8 novembre! Les métalleux vont faire du bruit au Manège! RRROOOOOAAAAAAARRRRR!!!

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Frank et Delphine: run to Rone!

Frank et Delphine
Frank et Delphine ont découvert Rone l’été dernier à l’occasion des Vieilles Charrues.

Tout de suite séduits par son univers électro et par la suite par ses clips psychédéliques,
notamment celui du morceau intitulé « Bye bye macadam », c’est tout naturellement qu’ils seront présents à son concert du 9 novembre à Cosmao Dumanoir.

A écouter sans moderation!

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Kristell et Alicia‏: mère et fille IndisciplinéEs

Kristell et Alicia

Les IndisciplinéEs c’est encore en famille aujourd’hui avec Kristell et Alicia!

Leur hâte: revoir Colin Stetson en live, un projet que Kristell adore et qu’elle recommande. Elle est également curieuse de découvrir Youngfather, Fauve et AlunaGeorge.

Le meilleur pour la fin, selon elles, elles iront découvrir ensemble le spectacle « Panique au bois béton » au Trio. Elles ne rateraient la première pour rien au monde!

Un tel enthousiasme ne peut être que communicatif…

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Noir Statues gagnant du Tremplin des IndisciplinéEs

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Samedi dernier avait lieu le Tremplin des IndisciplinéEs au Manège. Grand moment pour Noir Statues, Preskinious, Hitchin’A Ride et Lake Lemon qui jouaient là leur place pour le festival.

Noir Statues s’est imposé avec son électro visuelle et se produira en première partie sur la scène de Cosmao Dumanoir en novembre.

Bravo à lui!

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Sylvie, Maxime et Juliette: les IndisciplinéEs en famille

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Nous commençons notre série « Public » avec aujourd’hui toute une famille en route pour le  festival.

Maxime attend Superpoze, Wampire et Rone avec impatience et se rendra aux IndisciplinéEs vendredi et samedi.
Sa soeur Juliette et sa mère Sylvie seront au Manège le mercredi et le jeudi avec Young Fathers bien sûr! Egalement amatrices de rock qui déchire, elles seront dans la fosse des concerts de A Place To Bury Strangers et Dead Engine.

A eux trois ils couvriront déjà une bonne partie de la programmation. Un public de rêve non!?

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« On redémarre le tremplin cette année »

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Noir Statues (photo), Preskinious, Hitchin’A Ride et Lake Lemon seront samedi sur la scène du Manège pour la finale du tremplin des Indisciplinées 2013. Après une mise en sommeil du dispositif l’an passé, Thierry Houal, le programmateur du festival, nous explique les raisons de son retour.

Pourquoi ce tremplin ?

C’est la suite logique du travail qu’on fournit le reste de l’année auprès des groupes locaux. L’idée, c’est de bien marquer le lien entre Les Indisciplinées et le pays de Lorient, d’ancrer le festival sur son territoire. On avait mis en place ce tremplin pendant quatre ans, avant une mise en sommeil temporaire l’an dernier. Cette année, on a décidé de redémarrer la chose avec beaucoup d’enthousiasme.

Comment fonctionne-t-il ?

On a fait un appel à candidature durant l’été et qui se terminait le 15 septembre. Il concernait les groupes du coin essentiellement. On n’a pas prétention ni vocation à brasser au-delà du pays de Lorient comme peuvent le faire des festivals comme les Charrues ou Bourges. Le critère principal retenu ? Proposer au public les groupes les plus adaptés à la scène.

Est-ce vraiment utile aux groupes et aux artistes ?

C’est une première étape mais elle a son importance pour un jeune groupe retenu. Il a l’opportunité de jouer sur la scène du Manège et d’être accompagné par un staff professionnel de régisseur, d’ingé son, d’éclairagiste… Pour un groupe naissant, c’est souvent la première fois qu’il peut bénéficier de telles conditions, ça peut le faire grandement progresser. Et bien sûr, pour le vainqueur du tremplin, il se voit offrir une deuxième scène pendant la durée du festival.

Samedi 5 octobre, 20h30, au Manège. Gratuit. Avec Noir Statues, Preskinious, Hitchin’A Ride et Lake Lemon.

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Les IndisciplinéEs vues de partout ailleurs.

Les Indisciplinés

Les IndisciplinéEs, du 31 octobre au 10 novembre, hymne de la vie nocturne de la cité portuaire. Lorient. Quelques jours. Une semaine. Echarpe d’automne autour du cou qui nous embête quand la fièvre monte dans la salle. Et dieu sait que cette année, beaucoup risquent de sortir de là en criant un semblant de Joey Starr : « mais ils m’ont mis la fièvre, pendant des heures ». Seulement, encore fallait-il être au bon endroit, au bon moment. Pour ne rien louper. Pour arriver le lundi matin, machine à café, touillettes, thé, à raconter fissa fissa cet instant de folie douce à admirer les poètes modernes au micro d’argent. Désimposture ne vous laisse pas en rade, là, au bord du port, à attendre son tour devant la billetterie dans le flou le plus total. On joue les guides, mais attention, interdiction de nous comparer à ces vieux moustachus qui traînent leur savoir hypnotique d’un passé dépassé sur la petite histoire de la grande histoire.
Premier coup d’œil. Clin d’œil. Samuel Chalom, breton parisien, ou inversement, à la source d’Un œil vers l’ailleurs, donne son point de vue sur la programmation des IndisciplinéEs. S’il était là. « J’irais voir Superpoze, un superbe Dj découvert récemment grâce à son titre Transylvania et qui va, à n’en pas douter, compter sur la scène électronique des mois à venir ». Mais ce n’est pas tout. « Rone, parce qu’il a été mon idole pendant quelques mois et que le live que j’avais vu de lui avait été gâché par un son pourri, donc j’ai hâte de le revoir dans de bonnes conditions. Et Christophe, parce que même des décennies après Les mots bleus, cet artiste arrive à se renouveler ».
Moustache, cheveux or. Lunettes teintées comme la dernière Benz de 50 cent. Christophe continue de plaire à la jeune génération. San Carol, jeune artiste angevin d’un bain électronique en plein mouvement, confirme : « Christophe reste la légende de la variété française. Même si cela a mal vieilli, je pense que c’est l’incontournable de ce festival ». Compliment ou non, chacun choisira. En tout cas, la nouvelle pépite du grand ouest, qui vient de sortir son premier album La Main Invisible, ne s’arrêterait pas là. « J’irais également voir A Place To Bury Strangers histoire de saigner un bon coup des oreilles, Dominique A que j’ai découvert grâce à mon père et j’irais terminer ma soirée sur Rone car il est simplement excellent en live. Le mec maîtrise son sujet à fond et se permet d’avoir une vraie personnalité musicale directement identifiable, ce qui est rare ». Même chose pour Julien Brulé, artiste électronique en pleine croissance musicale : « Les IndisciplinéEs ont voulu faire une place de choix aux artistes en devenir : Fauve – des textes crus, sans tabou, slamés sur une musique spacieuse et intemporelle -  et surtout Superpoze, un normand qui nous transporte au travers de tracks hautes en couleurs. Pourquoi y aller ? Pour ne pas le regretter plus tard ». Le ton est donné. Reste à savoir ce qu’en pensent nos chroniqueurs musicaux. Bien, pas bien. Bonne ou mauvaise copie. Le suspense monte. Bon d’accord, il ne monte pas, mais faisons tout comme. Où doit-on mettre les pieds ?
« Je conseille fortement d’aller voir Griefjoy : un groupe qui mérite d’être vu et entendu. Ils ont beaucoup progressé depuis leur dernier groupe et aujourd’hui, ils sont sur scène et nous donnent une belle claque, explique Sabrine Khinibillade Some Are On The Way. Avis aux amateurs de bonne musique, c’est à ce concert là qu’il faut être ». Seulement, dans la sphère du web, où les chroniques s’enchaînent plus vite que les morceaux, juste à côté, Rémi Deleo, de Music and Street, a la tête ailleurs qu’à Griefjoy. Non, elle n’est pas dans les étoiles, quoi que. Elle traîne du côté de l’Angleterre de Ghostpoet : « ce génie de Coventry – bien qu’encore jeune – délimite les frontières d’une œuvre novatrice et profonde, empreinte d’une maturité affligeante. De la beauté, du sens, de la musique consciente, voilà ce que l’on a avec Ghostpoet. Ses titres viennent vous chercher émotionnellement, intellectuellement. Il est fantastique ». Désimposture confirme. Alors si avec ça vous n’êtes pas séduits, les mouches auront des dents. Ou les moutons. Les poules. Bref. Sans doute. Programmation complète.

Romain Le Berrigot
Désimposture / Les Résidents

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CLIK recherche festivaliers pour projet photo

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En amont du festival, nous sommes à la recherche de festivaliers pour un projet photo qui se déroulera avant le jour J.

Nous souhaitons conserver la surprise et ne détaillerons pas ici le concept mais nous sommes à votre disposition par mail et par MP sur notre page Facebook pour toutes demandes d’info supplémentaires.

Amis du public, ne soyez pas timides et devenez un véritable acteur du festival! Contactez nous dès à présent pour immortaliser votre venue!

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Is Tropical : « On préfère les guitares »

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LE TRIO ANGLAIS A SORTI SON SECOND ALBUM CET ETE. INTERVIEW ENTRE DEUX PORTES.

Après le clip de The Greeks qui avait bien cartonné en 2011, vous avez remis ça avec les vidéos de Dancing Anymore et de Lover’s Cave
Les clips qui se basent littéralement sur les paroles peuvent être ennuyeux. Le but c’est de capter l’attention. On laisse donc carte blanche aux réalisateurs qui travaillent avec nous. C’est une super occasion de bosser avec des gens créatifs (le clip de Dancing Anymore a été réalisé par le collectif français Megaforce qui avait déjà produit celui de The Greeks, ndlr). Je pense que nous avons maintenant la réputation d’être un groupe aux clips assez fous.

N’y a-t-il pas le risque que le clip soit plus connu que la musique ?
Si, totalement. Avec The Greeks, nous avons eu plus de réactions sur la vidéo que sur la chanson…

I’m Leaving, votre second album, est plus pop, moins électro que le précédent, Native To. Pourquoi ?
Sans doute parce qu’on préfère jouer avec des guitares qu’avec des claviers. Sur I’m Leaving, on a quand même beaucoup de synthés. Mais ils nous paraissent meilleurs : plus organiques.

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